26 septembre 2024
"La proposition de loi doit repermettre de prononcer des peines de prison ferme inférieure à un mois, ce qui n’est plus possible depuis la loi de 2019. Ensuite, elle vise à cesser une politique quasi-systématique d’aménagement des peines inférieure à un an. L’objectif est de revenir sur une idéologie qui s’est installée en France et qui voudrait que la peine de prison ferme, lorsqu’elle est courte, soit une mauvaise solution."
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