Initialement intégrée dans le réseau ferroviaire secondaire et ayant fait l’objet de reports successifs d’investissements au cours des dernières décennies, la ligne Bourges-Montluçon était source de préoccupations et de fortes inquiétudes dans le Cher, le maintien des « petites lignes » étant de plus en plus compromis à l’échelle nationale. Si de premiers signes positifs ont émergé fin 2018, le protocole d’accord, signé entre l’État et la Région Centre Val de Loire le 20 février, est venu éloigner définitivement le danger sur cette ligne en l’absorbant dans le réseau structurant.